Voici le lieu de notre supplice, communément appelé le collège Albert Camus. Plus sérieusement, il a du cachet, non ? Auparavant, il n’avait pas cette allure, il ressemblait plutôt à une navette spatiale. Heureusement de grands travaux ont été entrepris par le conseil général en 1995, sans doute pour accueillir plus de prisonniers ! Revenons à nos moutons, et surtout à son architecture si particulière. Ces fenêtres en forme de hublots rappellent un bateau, mais reviendrons nous de ce voyage… ? Ces couleurs difficiles à définir, marquerons, sans doute, notre adolescence. Grâce à ces nombreuses ouvertures, qui ne sont en rien un appel au suicide, les élèves bénéficient de beaucoup de lumière naturelle, pour le plus grand plaisir de nos yeux. Il possède de larges classes aérées et deux cours de recréation, assez grandes, parfaites pour une torture sportive. Si nous en parlons, c’est quand même que nous l’aimons.