La Lune est absente, les lampadaires sont allumés et les riverains dorment à poings fermés. Néanmoins, quelques ombres engourdies osent encore se promener sur les trottoirs de la ville assoupie. Une voiture passe silencieusement au loin et apporte un petit peu plus de lumière. Puis, progressivement, le silence est rompu par un train qui vient perturber le calme de cette nuit d’encre.